Maria Salamone
Aux Anges de la Vie
Lorsque Dieu créa le monde L’enjolivant de soleil d’or, Mer d’azur, terre féconde… Il se dit qu’à un si beau paysage Manquait une âme : Un être à son image. C’est ainsi qu’il créa l’homme : Sa plus belle création si seulement Il n’avait pas croqué la pomme. Un homme qui chassé du paradis À dû apprendre à affronter la vie, La mort, la maladie… Afin de l’aider à se soigner Le Créateur donna tout pouvoir Aux médecins, aux infirmiers… Qui au nom de l’amour qui les inonde En sauvant des vies Font le plus beau métier du monde !
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Pour un chant de vie
Je ne demande pas la lune, Qu’elle soit en diamant ou qu’elle porte fortune. Je n’aspire pas à la splendeur du firmament, Même lorsqu’il déploie, souverain, Son plus précieux tapis d’argent. Je n’envie pas les éclats du soleil d’or, Un seul rayon suffit pour réchauffer mon corps. Mais je veux vivre sur cette terre… Malgré ses souffrances et ses misères. Je veux vivre dans cet univers… Avec ses jours célestes et ses jours d’enfer. Je veux vivre sur cette planète… Qu’ont chanté tous les dieux et tous les poètes. Je veux vivre dans ce monde... Même s’il n’a plus toute sa raison, S’il a changé ses valeurs en dérision, Et si parfois sa détresse est grande ! Je veux vivre ici-bas… Sans peur de la vie, du lendemain, Des larmes qui coulent sur un lit de chagrin. Vivre… même lorsque j’en ai assez ! Vivre… est-ce vraiment trop demander ? Ô toi qui entends ce chant de vie, Ne rêves-tu pas d’un monde meilleur, Un monde sans guerre et sans virus destructeur : Toi, moi, nous tous, nous pouvons y contribuer, Il suffit de le vouloir, il suffit d’essayer…
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Y love Cannes
Comment ne pas tomber amoureux de tant de charme,
Comment ne pas succomber à ce désir qui vous enflamme,
Abandonnant cieux d’Italie et châteaux d’Espagne
Pour les yeux d’azur, l’éclatante nature de cette belle Dame.
Naturellement… par sa douceur, sa splendeur, sa diversité...
C’est un festival, un paradis éternel qu’elle met à vos pieds.
Née pour être aimée, admirée, courtisée…
Tout soupirant l’ayant rencontrée jamais il n’a pu l’oublier,
Envoûté par son soleil où, comme au cœur d’une fontaine,
Il vient noyer ses soucis, ses interdits, toutes ses peines.
Saluant sa joie de vivre, s’enivrant à en perdre haleine,
Il reviendra… là… où dansent et chantent les sirènes !