Sonnet 172
Il vient sournoisement l’invincible Tueur
Distillant son venin aux Citoyens du monde,
De l’attaque surprise au mal qui vagabonde
Il pénètre l’intime espace de la peur.
On les couchait partout conscients du malheur,
Les pauvres Gens vivaient l’interminable ronde
Des Soignants harassés que le courage inonde
En criant : « Restez chez vous ! Fuyez le Faucheur »
Monstre assoiffé de sang et de corps en souffrance,
Tu ne sauras jamais pratiquer la clémence
En comptant satisfait tes Victimes du jour
Notre guerre est finie avec la joie intense
D’écraser ce Virus sans espoir de retour.
Demain l’Humanité changera d’existence.