Tom Villa maîtrise les embouteillages. Ceux du périph parisien («heureusement en scooter !») - ce qui lui permet d’arriver finalement à l’heure à un rendez-vous téléphonique auquel il avait aimablement prévenu qu’il serait en retard - et ceux d’une carrière de dix ans où il cumule avec joie télé, radio, cinéma, scène et écriture. Après avoir présenté le mois dernier à laQuinzaine des réalisateursun film, La Dérive des continents (au Sud), il revient à Cannes, pour être le maître de cérémonie des trois rendez-vous de gala Tenue de soirée exigée dans le cadre de Big Perf Cannes (voir pages précédentes). Tom Villa en résidence.