Le samedi 19 avril 2025
20h30
> 12 ans
• Durée : 1h15
Théâtre Croisette - JW Marriott Cannes
50 boulevard de la Croisette
1-3 Rue Frédéric Amouretti
06414 Cannes
CAT. 1 Plein : 30€ / Réduit : 27€ / Carte liberté : 25€ / Abonné : 23€ / Jeunes -26 ans : 21€
CAT. 2 Plein : 24€ / Réduit : 22€ / Carte liberté : 20€ / Jeunes -26 ans : 17€
Une première sur les planches pour Alessandra Sublet, en confidences dans une performance théâtrale originale et convaincante qui tient de la leçon de vie à l’optimisme communicatif : un récit drôle et intime où la comédienne irradie de naturel et témoigne de cette fraîcheur inimitable qui la tant fait apprécier du public lorsqu’elle était présentatrice.
Tandis qu’elle se raconte, on s’interroge sur notre propre faculté à prendre des initiatives et à en accepter les risques, pour progresser vers notre épanouissement en s’affranchissant de potentiels regrets. Une emballante ode à l’audace où elle témoigne de son parcours et des obstacles rencontrés avec sérénité et humour, tentant d’esquisser une voie entre détermination et prudence.
Une voix de la sagesse qui remet en cause de nombreux poncifs et n’hésite pas à prôner les vertus de l’échec, en nous encourageant à faire notre l’adage « Qui ne tente rien n’a rien ».
JMD PRODUCTION
Seule en scène écrit et interprété par : Alessandra Sublet
Mise en scène : Anne Bouvier
This popular presenter who left television to dedicate herself to a career as an actress is back before the public with an exciting "one-woman show" in which she reveals her life story. With great humour, she tenderly evokes the obstacles she has faced to follow her dreams and see her choices through, despite the risks, failures and what others may think…
Here, she offers us an original stage performance that draws us in like a warm embrace: an real, energising "feel good".
«Alessandra Sublet se réinvente sur les planches, le temps d’un seule-en-scène introspectif tout en humour et tendresse. » Elle
« La comédienne décortique avec justesse certaines conventions, démonte des usages, dénonce le cercle fermé des bien-pensants.» La Provence